Cette initiative comprend la construction d’habitats pour les abeilles sauvages qui mettent l’emphase sur le vide et l’absence. Mon travail sur ce thème m’a amené à réfléchir à l’architecture des ruches et des abris et comment ces structures pourraient ressembler à des villes fantômes si elles étaient abandonnées comme on abandonne des quartiers résidentiels. Dans la cour d’un apiculteur, l’effondrement des colonies peut être comparé à 40 000 à 4 millions de personnes disparaissant soudainement de leurs maisons.
Le repeuplement va éventuellement aussi inclure le retour des abris et des ruches fantômes à l’extérieur.
Comme première étape, j’ai fait une soumission en collaboration avec Jess Dixon au concours Bee House Lab lancé par l’Université du Manitoba. Notre soumission a obtenu une mention honorable.